forza italia

patrianostra Mar 3 Fév - 21:14

Parme - On a vidé complètement la salle de prière et on a enlevé tous les meubles et toutes les chaises en bois mais surtout les 600 m² de moquette sur lesquels quelques 300 musulmans de la ville de Parme, en Italie, venaient s’agenouiller 5 fois par jour. Si ce n’était des quelques corans dispersés ici et là, il serait difficile d’imaginer que cet énorme hangar, de 1000 m² et de 10 m de hauteur, perdu dans la section des artisans de la zone industrielle de la ville, était en réalité une mosquée. En fait, cette nouvelle mosquée, installée dans ce local il y a à peine un an, est maintenant d’un vide consternant depuis que l’on a enlevé ce tapis, d’une importance rituelle, qui protégeait les fidèles de tout contact avec les impuretés du sol.
Pour envoyer les islamistes au tapis, on n’a pas eu besoin de pétitions ni de croisade de la Ligue du Nord, seulement du prétexte d’un alinéa normatif dans le texte des normes anti-incendie et de procéder avec entêtement pour faire appliquer la loi.
Après une simple visite de contrôle du Service des Incendies, on a constaté que le nylon entrant dans la composition des fibres de la moquette, ainsi que le mobilier et les chaises en bois, créaient un risque d’incendie. C’est ainsi que le certificat de conformité aux normes de la prévention des incendies a été révoqué et que le directeur adjoint du Service d’Urbanisme a suspendu le permis d’occupation des lieux.L’enquête du Service des Incendies a eu lieu suite à une plaine d’un artisan, Cesare Piazza, 45 ans, qui est déjà depuis longtemps sur un pied de guerre avec l’administration communale au sujet de cette même mosquée qui, selon lui , « a été installée dans une aire industrielle réservée aux artisans et où il n’est pas prévu la construction de lieux de culte.» Pourtant même lui ne s’attendait pas à voir tout le mobilier et tous les tapis empilés sur le bord de la rue : « Mon objectif n’est pas de vider la mosquée de ce qu’elle contient mais de faire en sorte qu’elle soit déplacée. En somme, je n’ai rien contre les musulmans. »

Ce genre de problème ne se posera pas au contraire à Azzano Decimo près de Podernone, là le maire membre de la Ligue du Nord se prépare à émettre une ordonnance qui interdira aux musulmans de prier sur tout le territoire de la commune Very Happy

Arsene du PDC Mar 3 Fév - 21:24

patrianostra a écrit:Parme - On a vidé complètement la salle de prière et on a enlevé tous les meubles et toutes les chaises en bois mais surtout les 600 m² de moquette sur lesquels quelques 300 musulmans de la ville de Parme, en Italie, venaient s’agenouiller 5 fois par jour. Si ce n’était des quelques corans dispersés ici et là, il serait difficile d’imaginer que cet énorme hangar, de 1000 m² et de 10 m de hauteur, perdu dans la section des artisans de la zone industrielle de la ville, était en réalité une mosquée. En fait, cette nouvelle mosquée, installée dans ce local il y a à peine un an, est maintenant d’un vide consternant depuis que l’on a enlevé ce tapis, d’une importance rituelle, qui protégeait les fidèles de tout contact avec les impuretés du sol.
Pour envoyer les islamistes au tapis, on n’a pas eu besoin de pétitions ni de croisade de la Ligue du Nord, seulement du prétexte d’un alinéa normatif dans le texte des normes anti-incendie et de procéder avec entêtement pour faire appliquer la loi.
Après une simple visite de contrôle du Service des Incendies, on a constaté que le nylon entrant dans la composition des fibres de la moquette, ainsi que le mobilier et les chaises en bois, créaient un risque d’incendie. C’est ainsi que le certificat de conformité aux normes de la prévention des incendies a été révoqué et que le directeur adjoint du Service d’Urbanisme a suspendu le permis d’occupation des lieux.L’enquête du Service des Incendies a eu lieu suite à une plaine d’un artisan, Cesare Piazza, 45 ans, qui est déjà depuis longtemps sur un pied de guerre avec l’administration communale au sujet de cette même mosquée qui, selon lui , « a été installée dans une aire industrielle réservée aux artisans et où il n’est pas prévu la construction de lieux de culte.» Pourtant même lui ne s’attendait pas à voir tout le mobilier et tous les tapis empilés sur le bord de la rue : « Mon objectif n’est pas de vider la mosquée de ce qu’elle contient mais de faire en sorte qu’elle soit déplacée. En somme, je n’ai rien contre les musulmans. »

Ce genre de problème ne se posera pas au contraire à Azzano Decimo près de Podernone, là le maire membre de la Ligue du Nord se prépare à émettre une ordonnance qui interdira aux musulmans de prier sur tout le territoire de la commune

Le même "traitement" éradicateur est-il prévu aussi pour les synagoges (godmiché) Question