Je suis partout
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Je suis partout
Je suis partout : Nicolas Sarkozy se lance dans les supports dérivés.
Le président de la République s'invite sur 2 pages dans Le Figaro. On vous le fait en résumé.
1 - Les municipales : "Je sais que ce scrutin aura une signification politique que j'entendrai et dont je tiendrai compte. A ce titre, je souhaite que ceux qui veulent que le changement continue, se mobilisent et fassent le choix du candidat qui porte cette stratégie du changement."
2 - Le remaniement ministériel : "Je voudrais mettre un terme à cette maladie française qui consiste à changer de ministres tous les six mois. Cela donne le tournis et une grande impression de légèreté. Alors que les Anglais ont gardé Gordon Brown 10 ans au ministère des Finances, nous avons connu 8 ministres à Bercy pendant la même période!"
3 - Les sondages : "Pendant 6 ans, j'ai connu des sondages à leur zénith. Et mes adversaires expliquaient que cela ne signifiait rien. Aujourd'hui, après 2 mois de baisse, les mêmes expliquent que la situation est très grave. Bien sûr, les bons sondages facilitent les réformes et les mauvais les compliquent. Mais cela ne change pas mon cap. (...) Je ne crois pas utile de commenter en permanence l'écume des choses!"
4 - La rigueur : "Je ne crois pas aux plans de rigueur, ils ne mènent à rien. C'est la réforme qui amènera les économies et ce sont les économies et la croissance qui amèneront la réduction des déficits. (...) Ma mission est de faire en sorte que toutes les réformes qui n'ont pas été engagées en France depuis tant d'années soient conduites à leur terme; mon rendez-vous est clair : c'est la fin du quinquennat, et les résultats concrets que les Français en attendent à juste titre."
5 - La Shoah : "Ma conviction, au moment où les survivants vont disparaître, est que l'antisémitisme et le racisme ont été sous-estimés en France pendant longtemps et qu'il est très important de transmettre cette mémoire".
6 - Le bonheur : Question "Pendant la campagne, vous aviez dit qu'être président de la République, c'était renoncer au bonheur..." Réponse "Eh bien, il a dû se passer quelque chose de nouveau..."
Le président de la République s'invite sur 2 pages dans Le Figaro. On vous le fait en résumé.
1 - Les municipales : "Je sais que ce scrutin aura une signification politique que j'entendrai et dont je tiendrai compte. A ce titre, je souhaite que ceux qui veulent que le changement continue, se mobilisent et fassent le choix du candidat qui porte cette stratégie du changement."
2 - Le remaniement ministériel : "Je voudrais mettre un terme à cette maladie française qui consiste à changer de ministres tous les six mois. Cela donne le tournis et une grande impression de légèreté. Alors que les Anglais ont gardé Gordon Brown 10 ans au ministère des Finances, nous avons connu 8 ministres à Bercy pendant la même période!"
3 - Les sondages : "Pendant 6 ans, j'ai connu des sondages à leur zénith. Et mes adversaires expliquaient que cela ne signifiait rien. Aujourd'hui, après 2 mois de baisse, les mêmes expliquent que la situation est très grave. Bien sûr, les bons sondages facilitent les réformes et les mauvais les compliquent. Mais cela ne change pas mon cap. (...) Je ne crois pas utile de commenter en permanence l'écume des choses!"
4 - La rigueur : "Je ne crois pas aux plans de rigueur, ils ne mènent à rien. C'est la réforme qui amènera les économies et ce sont les économies et la croissance qui amèneront la réduction des déficits. (...) Ma mission est de faire en sorte que toutes les réformes qui n'ont pas été engagées en France depuis tant d'années soient conduites à leur terme; mon rendez-vous est clair : c'est la fin du quinquennat, et les résultats concrets que les Français en attendent à juste titre."
5 - La Shoah : "Ma conviction, au moment où les survivants vont disparaître, est que l'antisémitisme et le racisme ont été sous-estimés en France pendant longtemps et qu'il est très important de transmettre cette mémoire".
6 - Le bonheur : Question "Pendant la campagne, vous aviez dit qu'être président de la République, c'était renoncer au bonheur..." Réponse "Eh bien, il a dû se passer quelque chose de nouveau..."
Re: Je suis partout
Il aurait du faire humouriste
Ducat- Respecteur du con d'en face
- Messages : 2285
Date d'inscription : 25/02/2008
Re: Je suis partout
Tiens le titre de ton post me rappelle une abominable feuille de chou
Un petit commentaire sur ce triste canard
"Après l’éviction de Brasillach, jugé trop modéré, la direction est assurée par Pierre-Antoine Cousteau. Ce changement marque un dernier glissement : Je suis partout s’aligne intégralement sur le nazisme, oublie l’ouverture aux intellectuels qui avait fait une partie de son succès dans les années 1930 pour l’anti-intellectualisme des nazis et des fascistes les plus fanatiques, ouvre ses colonnes aux Waffen-SS."
Un petit commentaire sur ce triste canard
"Après l’éviction de Brasillach, jugé trop modéré, la direction est assurée par Pierre-Antoine Cousteau. Ce changement marque un dernier glissement : Je suis partout s’aligne intégralement sur le nazisme, oublie l’ouverture aux intellectuels qui avait fait une partie de son succès dans les années 1930 pour l’anti-intellectualisme des nazis et des fascistes les plus fanatiques, ouvre ses colonnes aux Waffen-SS."
pitou- Messages : 909
Date d'inscription : 24/02/2008
Age : 76
Localisation : Près de Poitiers
Re: Je suis partout
pitou a écrit:Tiens le titre de ton post me rappelle une abominable feuille de chou
Un petit commentaire sur ce triste canard
"Après l’éviction de Brasillach, jugé trop modéré, la direction est assurée par Pierre-Antoine Cousteau. Ce changement marque un dernier glissement : Je suis partout s’aligne intégralement sur le nazisme, oublie l’ouverture aux intellectuels qui avait fait une partie de son succès dans les années 1930 pour l’anti-intellectualisme des nazis et des fascistes les plus fanatiques, ouvre ses colonnes aux Waffen-SS."
Ca valait pas France football....
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