Copé n'exclut pas de recommander une hausse de la redevance
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Copé n'exclut pas de recommander une hausse de la redevance
Copé n'exclut pas de recommander une hausse de la redevance
Selon lui, ce sujet divise cependant fortement la commission sur l'audiovisuel public, les professionnels étant fortement pour et les parlementaires contre.
Installée mardi dernier par Nicolas Sarkozy, la “commission pour la nouvelle télévision publique“ s'est réunie mercredi 27 février pour la première fois à l'Assemblée nationale.
Présidée par Jean-François Copé, elle devra réfléchir à l'avenir de l'audiovisuel public, et n'est en aucun cas compétente pour la radio publique.
Quatre ateliers de travail devraient être déployés: nouveau contrat de service public, nouveau modèle économique, nouvelles technologies et gouvernance.
Trois membres de l'opposition sont présents au sein de la commission: Michel Françaix, Patrick Bloche et Didier Mathus.
Des travaux "ouverts à tous"
A l'issue des réunions, Jean-François Copé devra remettre un rapport au président de la République fin mai.
A la fin de la première séance, il a insisté sur le fait que les travaux de la commission étaient "ouverts à tous", celle-ci voulant travailler "en totale transparence". Un site internet dédié devrait être ouvert pour permettre aux professionnels qui ne sont pas membres de la commission et aux téléspectateurs de donner leur avis.
Il a précisé qu'une recommandation sur l'augmentation de la redevance n'était "pas exclue", une partie de la commission (les professionnels) étant "très pour", l'autre (les parlementaires) plutôt "très contre".
Le financement est un élément majeur
A la suite de cette réunion, Jacques Chancel (producteur audiovisuel) explique qu'“avant de prendre des décisions il faut regarder les problèmes, il faut être sérieux dans cette affaire“. Avant d'ajouter qu'“aujourd'hui, il a été question de grandes généralités (...) il n'y a pas d'inquiétude“, sauf du côté de France Télévisions.
En effet, Didier Mathus, député PS, se rend compte que “le débat a été lancé d'une façon un peu irresponsable par le président de la République et aujourd'hui c'est à la commission de réparer les dégâts“. Il a également noté qu'“aujourd'hui ,France Télévisions est en difficulté en grande partie à la suite des déclarations du président de la République."
Enfin, pour Patrick Bloche, député socialiste, “le financement est un élément majeur“. “Nous avons été nombreux à alerter Jean-François Copé sur le fait qu'il faut que le gouvernement apporte très rapidement des garanties sur le financement audiovisuel pour 2008 et même pour 2009“.
Selon lui, ce sujet divise cependant fortement la commission sur l'audiovisuel public, les professionnels étant fortement pour et les parlementaires contre.
Installée mardi dernier par Nicolas Sarkozy, la “commission pour la nouvelle télévision publique“ s'est réunie mercredi 27 février pour la première fois à l'Assemblée nationale.
Présidée par Jean-François Copé, elle devra réfléchir à l'avenir de l'audiovisuel public, et n'est en aucun cas compétente pour la radio publique.
Quatre ateliers de travail devraient être déployés: nouveau contrat de service public, nouveau modèle économique, nouvelles technologies et gouvernance.
Trois membres de l'opposition sont présents au sein de la commission: Michel Françaix, Patrick Bloche et Didier Mathus.
Des travaux "ouverts à tous"
A l'issue des réunions, Jean-François Copé devra remettre un rapport au président de la République fin mai.
A la fin de la première séance, il a insisté sur le fait que les travaux de la commission étaient "ouverts à tous", celle-ci voulant travailler "en totale transparence". Un site internet dédié devrait être ouvert pour permettre aux professionnels qui ne sont pas membres de la commission et aux téléspectateurs de donner leur avis.
Il a précisé qu'une recommandation sur l'augmentation de la redevance n'était "pas exclue", une partie de la commission (les professionnels) étant "très pour", l'autre (les parlementaires) plutôt "très contre".
Le financement est un élément majeur
A la suite de cette réunion, Jacques Chancel (producteur audiovisuel) explique qu'“avant de prendre des décisions il faut regarder les problèmes, il faut être sérieux dans cette affaire“. Avant d'ajouter qu'“aujourd'hui, il a été question de grandes généralités (...) il n'y a pas d'inquiétude“, sauf du côté de France Télévisions.
En effet, Didier Mathus, député PS, se rend compte que “le débat a été lancé d'une façon un peu irresponsable par le président de la République et aujourd'hui c'est à la commission de réparer les dégâts“. Il a également noté qu'“aujourd'hui ,France Télévisions est en difficulté en grande partie à la suite des déclarations du président de la République."
Enfin, pour Patrick Bloche, député socialiste, “le financement est un élément majeur“. “Nous avons été nombreux à alerter Jean-François Copé sur le fait qu'il faut que le gouvernement apporte très rapidement des garanties sur le financement audiovisuel pour 2008 et même pour 2009“.
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