Marina Petrella refuse de retourner vivante en Italie

[maverick]

L'ancienne membre des Brigades rouges, sous écrou extraditionnel et en détention, a affirmé à son mari que seul son "cadavre" serait emporté en Italie où elle a été condamnée à perpétuité.


Marina Petrella (SIPA)
L'ancienne membre des Brigades rouges, Marina Petrella, menacée d'extradition vers l'Italie et actuellement à l'hôpital psychiatrique parisien Sainte-Anne s'est dit déterminée à ne pas retourner vivante en Italie, a affirmé jeudi 24 juillet sur Europe 1 son mari, qui a pu la voir mercredi soir.
"Elle m'a regardé dans les yeux et elle m'a dit: "Je sais que ça va être dur mais ils n'emporteront que mon cadavre et ils n'emporteront rien d'autre"", a raconté Hamed Merakchi, qui n'avait pas revu sa femme depuis le 10 avril.
"Je l'ai trouvée très, très, très affaiblie. On dirait qu'elle a pris vingt ans. On dirait une petite vieille", a ajouté Hamed Merakchi qui "espère que tout cela va s'arranger" car "on n'est pas un pays de sauvages".

39 kg

L'ancienne militante a été transférée mercredi de l'hôpital pénitentiaire de Fresnes (Val-de-Marne) à l'hôpital psychiatrique Sainte-Anne, à Paris. Depuis son arrestation en août 2007, elle a perdu 20% de son poids et pèse aujourd'hui 39kg.
Le Premier ministre, François Fillon, a signé début juin le décret d'extradition de l'ex-brigadiste. Elle a saisi le Conseil d'Etat d'un dernier recours, qui sera examiné à la rentrée. Le président Nicolas Sarkozy a annoncé le 8 juillet que si le Conseil d'Etat donnait son feu vert, l'extradition serait accordée, mais il a demandé en parallèle au président de la République italien Giorgio Napolitano de la gracier, "compte tenu de l'ancienneté de la condamnation et de la situation psychologique et de santé" de la détenue.

Perpétuité

Marina Petrella, qui est âgée de 53 ans, a été condamnée à la réclusion à perpétuité le 6 mars 1992 en son absence par la cour d'assises de Rome pour le meurtre d'un commissaire de police, tentative de séquestration et d'homicide, séquestration d'un magistrat, vol avec arme et attentats. Elle avait fui en France au milieu des années 1980, y résidait en règle avec un titre de séjour et possédait un domicile sous sa vraie identité à Argenteuil (Val-d'Oise), où elle vivait avec sa fille de dix ans

[Arsene du PDC]

L'ancienne membre des Brigades rouges, sous écrou extraditionnel et en détention, a affirmé à son mari que seul son "cadavre" serait emporté en Italie où elle a été condamnée à perpétuité.


Marina Petrella (SIPA)
L'ancienne membre des Brigades rouges, Marina Petrella, menacée d'extradition vers l'Italie et actuellement à l'hôpital psychiatrique parisien Sainte-Anne s'est dit déterminée à ne pas retourner vivante en Italie, a affirmé jeudi 24 juillet sur Europe 1 son mari, qui a pu la voir mercredi soir.
"Elle m'a regardé dans les yeux et elle m'a dit: "Je sais que ça va être dur mais ils n'emporteront que mon cadavre et ils n'emporteront rien d'autre"", a raconté Hamed Merakchi, qui n'avait pas revu sa femme depuis le 10 avril.
"Je l'ai trouvée très, très, très affaiblie. On dirait qu'elle a pris vingt ans. On dirait une petite vieille", a ajouté Hamed Merakchi qui "espère que tout cela va s'arranger" car "on n'est pas un pays de sauvages".

39 kg

L'ancienne militante a été transférée mercredi de l'hôpital pénitentiaire de Fresnes (Val-de-Marne) à l'hôpital psychiatrique Sainte-Anne, à Paris. Depuis son arrestation en août 2007, elle a perdu 20% de son poids et pèse aujourd'hui 39kg.
Le Premier ministre, François Fillon, a signé début juin le décret d'extradition de l'ex-brigadiste. Elle a saisi le Conseil d'Etat d'un dernier recours, qui sera examiné à la rentrée. Le président Nicolas Sarkozy a annoncé le 8 juillet que si le Conseil d'Etat donnait son feu vert, l'extradition serait accordée, mais il a demandé en parallèle au président de la République italien Giorgio Napolitano de la gracier, "compte tenu de l'ancienneté de la condamnation et de la situation psychologique et de santé" de la détenue.

Perpétuité

Marina Petrella, qui est âgée de 53 ans, a été condamnée à la réclusion à perpétuité le 6 mars 1992 en son absence par la cour d'assises de Rome pour le meurtre d'un commissaire de police, tentative de séquestration et d'homicide, séquestration d'un magistrat, vol avec arme et attentats. Elle avait fui en France au milieu des années 1980, y résidait en règle avec un titre de séjour et possédait un domicile sous sa vraie identité à Argenteuil (Val-d'Oise), où elle vivait avec sa fille de dix ans

On peut faire confiance au Nain et à son "Groupen Fuhrer Horte-Couille pour la maintenir "en vie" juste pour le voyage, grande expérience sur Paris-Bamako .

[patrianostra]

une terroriste morte et une bonne terroriste !

[papacoz]

eh bien qu'elle crève si ça peut lui faire plaisir

ça fera une assacin de moins

[pitou]

Je n'ai aucune sympathie pour les terroristes mais je ne souhaite la mort de personne.

[Arsene du PDC]

eh bien qu'elle crève si ça peut lui faire plaisir

ça fera une assacin de moins

Oh PAPA, un peu de tenue, "I'm chocking", vous qui d'habitude est si "correct" ,c'est à cause de Kermit qui l'avait autorisée à se réfugier en France que vous dites ça .

Au "Patriote" maintenant car je ne voudrais pas "consommer" un post en +.

Sans vouloir paraphraser quelqu'un moi, je dirais qu'un bon commissaire est un commissaire mort (inspecteur la bavure!)....................

[patrianostra]

pour moi cette ,,,,chose ,,,,est une raclure,pas de pitié !

[Arsene du PDC]

pour moi cette ,,,,chose ,,,,est une raclure,pas de pitié !

Vive "Les Brigades Rouges", la chose "Bernusconi" et tous ceux qui ont voté pour lui sont des raclures.
Désolé de ne pas partager vos "propos" enflammés!.

[patrianostra]

libre a vous
viva Berlusconi il a des couilles pas comme le nain

[Arsene du PDC]

libre a vous
viva Berlusconi il a des couilles pas comme le nain

Comme son "maitre à penser", Mussolini, il finira comme lui, j'espère, pendu par les"couilles" comme vous dites!.

[papacoz]

libre a vous
viva Berlusconi il a des couilles pas comme le nain

Comme son "maitre à penser", Mussolini, il finira comme lui, j'espère, pendu par les"couilles" comme vous dites!.

oui mais ses couilles ils les mettaient entre les cuisses de Mme patacci

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