Mystère autour de la maison la plus chère du monde

[maverick]

Un milliardaire russe se serait acheté une villa sur la Côte d'Azur pour une somme de plusieurs centaines de millions d'euros.



La Côte d'Azur héberge-t-elle la maison la plus chère du monde ? Selon le quotidien Nice Matin, la villa Léopolda, propriété d'exception de Villefranche-sur-Mer, qui surplombe le cap Ferrat, s'apprête à passer aux mains d'un oligarque russe pour la somme extravagante de 500 millions d'euros. L'affaire du siècle pour une villa de luxe. Une transaction qui ridiculiserait presque le record jusqu'à présent détenu par une propriété anglaise, voisine des jardins de Kensington Palace, achetée 147,28 millions d'euros par le magnat indien Lakshmi Mittal.

Le compromis de vente de la villa Léopolda aurait été signé il y a quelques jours devant un notaire niçois et devrait se finaliser début septembre. La propriétaire, Lily Safra, veuve du banquier suisse d'origine libanaise Edmond Safra, mort dans un incendie criminel en 1999, serait de son côté représentée par un notaire parisien. Le prix aurait atteint de tels sommets car elle ne souhaitait pas vendre la villa.


Riche de plusieurs vies

Avant les Safra, d'autres propriétaires prestigieux ont arpenté les quelque dix hectares de la demeure où croissent plus de mille deux cents oliviers, cyprès, citronniers et orangers. Construite dans les années 1900 par le roi des Belges, Léopold II, elle a vu passer la comtesse de Beauchamp ou encore Giovanni Agnelli, propriétaire des usines Fiat. Riche de plusieurs vies, la demeure fut également transformée en hôpital pour les martyrs de la Grande Guerre par Albert Ier de Monaco.

Roman Abramovitch, autre oligarque russe, propriétaire du club de football de Chelsea, avait été donné comme acheteur de la maison le mois dernier, mais l'information a été démentie. Ces dernières semaines, d'autres rumeurs sur des ventes à 250 millions d'euros ou 400 millions de dollars circulaient parmi les professionnels.

Il faut dire qu'à ces prix, les milliardaires russes semblent les mieux placés. Ils décrochent désormais la majorité des grosses transactions dans la région, aux cap Ferrat, cap d'Antibes et cap Martin. «C'est la course aux enchères : qui aura la maison la plus chère et le plus gros yacht … C'est pourquoi la transaction a peut-être pu s'effectuer à ce chiffre indécent de 500 millions d'euros», commente un spécialiste de l'immobilier. «Après Londres et Monaco, c'est le troisième endroit le plus cher du monde», indique l'agence immobilière de luxe John Taylor. «Cela peut être une manière pour un oligarque richissime mais peu connu de faire parler de lui», ajoute l'agence.

«Les nouveaux Russes attachent une grande valeur sentimentale à la région où l'aristocratie russe avait élu villégiature il y a 70 ans», analyse Jean-Jacques Hermant, président de la chambre des notaires des Alpes-Maritimes. Ce dernier rappelle que plusieurs villas des alentours sont parties pour 150 millions d'euros.

Le prix annoncé pour la Léopolda semble cependant démesuré. À titre de comparaison, l'an­cien ministère de la Coopération, un hôtel particulier près des Invalides de 7 000 m², a récemment été vendu à des Russes pour 142 millions d'euros.

[Canada]

Un milliardaire russe se serait acheté une villa sur la Côte d'Azur pour une somme de plusieurs centaines de millions d'euros.



La Côte d'Azur héberge-t-elle la maison la plus chère du monde ? Selon le quotidien Nice Matin, la villa Léopolda, propriété d'exception de Villefranche-sur-Mer, qui surplombe le cap Ferrat, s'apprête à passer aux mains d'un oligarque russe pour la somme extravagante de 500 millions d'euros. L'affaire du siècle pour une villa de luxe. Une transaction qui ridiculiserait presque le record jusqu'à présent détenu par une propriété anglaise, voisine des jardins de Kensington Palace, achetée 147,28 millions d'euros par le magnat indien Lakshmi Mittal.

Le compromis de vente de la villa Léopolda aurait été signé il y a quelques jours devant un notaire niçois et devrait se finaliser début septembre. La propriétaire, Lily Safra, veuve du banquier suisse d'origine libanaise Edmond Safra, mort dans un incendie criminel en 1999, serait de son côté représentée par un notaire parisien. Le prix aurait atteint de tels sommets car elle ne souhaitait pas vendre la villa.


Riche de plusieurs vies

Avant les Safra, d'autres propriétaires prestigieux ont arpenté les quelque dix hectares de la demeure où croissent plus de mille deux cents oliviers, cyprès, citronniers et orangers. Construite dans les années 1900 par le roi des Belges, Léopold II, elle a vu passer la comtesse de Beauchamp ou encore Giovanni Agnelli, propriétaire des usines Fiat. Riche de plusieurs vies, la demeure fut également transformée en hôpital pour les martyrs de la Grande Guerre par Albert Ier de Monaco.

Roman Abramovitch, autre oligarque russe, propriétaire du club de football de Chelsea, avait été donné comme acheteur de la maison le mois dernier, mais l'information a été démentie. Ces dernières semaines, d'autres rumeurs sur des ventes à 250 millions d'euros ou 400 millions de dollars circulaient parmi les professionnels.

Il faut dire qu'à ces prix, les milliardaires russes semblent les mieux placés. Ils décrochent désormais la majorité des grosses transactions dans la région, aux cap Ferrat, cap d'Antibes et cap Martin. «C'est la course aux enchères : qui aura la maison la plus chère et le plus gros yacht … C'est pourquoi la transaction a peut-être pu s'effectuer à ce chiffre indécent de 500 millions d'euros», commente un spécialiste de l'immobilier. «Après Londres et Monaco, c'est le troisième endroit le plus cher du monde», indique l'agence immobilière de luxe John Taylor. «Cela peut être une manière pour un oligarque richissime mais peu connu de faire parler de lui», ajoute l'agence.

«Les nouveaux Russes attachent une grande valeur sentimentale à la région où l'aristocratie russe avait élu villégiature il y a 70 ans», analyse Jean-Jacques Hermant, président de la chambre des notaires des Alpes-Maritimes. Ce dernier rappelle que plusieurs villas des alentours sont parties pour 150 millions d'euros.

Le prix annoncé pour la Léopolda semble cependant démesuré. À titre de comparaison, l'an­cien ministère de la Coopération, un hôtel particulier près des Invalides de 7 000 m², a récemment été vendu à des Russes pour 142 millions d'euros.

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Pour les membres les plus anciens des fofos:Dite merci matt alias canada

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[Canada]

Un milliardaire russe se serait acheté une villa sur la Côte d'Azur pour une somme de plusieurs centaines de millions d'euros.



La Côte d'Azur héberge-t-elle la maison la plus chère du monde ? Selon le quotidien Nice Matin, la villa Léopolda, propriété d'exception de Villefranche-sur-Mer, qui surplombe le cap Ferrat, s'apprête à passer aux mains d'un oligarque russe pour la somme extravagante de 500 millions d'euros. L'affaire du siècle pour une villa de luxe. Une transaction qui ridiculiserait presque le record jusqu'à présent détenu par une propriété anglaise, voisine des jardins de Kensington Palace, achetée 147,28 millions d'euros par le magnat indien Lakshmi Mittal.

Le compromis de vente de la villa Léopolda aurait été signé il y a quelques jours devant un notaire niçois et devrait se finaliser début septembre. La propriétaire, Lily Safra, veuve du banquier suisse d'origine libanaise Edmond Safra, mort dans un incendie criminel en 1999, serait de son côté représentée par un notaire parisien. Le prix aurait atteint de tels sommets car elle ne souhaitait pas vendre la villa.


Riche de plusieurs vies

Avant les Safra, d'autres propriétaires prestigieux ont arpenté les quelque dix hectares de la demeure où croissent plus de mille deux cents oliviers, cyprès, citronniers et orangers. Construite dans les années 1900 par le roi des Belges, Léopold II, elle a vu passer la comtesse de Beauchamp ou encore Giovanni Agnelli, propriétaire des usines Fiat. Riche de plusieurs vies, la demeure fut également transformée en hôpital pour les martyrs de la Grande Guerre par Albert Ier de Monaco.

Roman Abramovitch, autre oligarque russe, propriétaire du club de football de Chelsea, avait été donné comme acheteur de la maison le mois dernier, mais l'information a été démentie. Ces dernières semaines, d'autres rumeurs sur des ventes à 250 millions d'euros ou 400 millions de dollars circulaient parmi les professionnels.

Il faut dire qu'à ces prix, les milliardaires russes semblent les mieux placés. Ils décrochent désormais la majorité des grosses transactions dans la région, aux cap Ferrat, cap d'Antibes et cap Martin. «C'est la course aux enchères : qui aura la maison la plus chère et le plus gros yacht … C'est pourquoi la transaction a peut-être pu s'effectuer à ce chiffre indécent de 500 millions d'euros», commente un spécialiste de l'immobilier. «Après Londres et Monaco, c'est le troisième endroit le plus cher du monde», indique l'agence immobilière de luxe John Taylor. «Cela peut être une manière pour un oligarque richissime mais peu connu de faire parler de lui», ajoute l'agence.

«Les nouveaux Russes attachent une grande valeur sentimentale à la région où l'aristocratie russe avait élu villégiature il y a 70 ans», analyse Jean-Jacques Hermant, président de la chambre des notaires des Alpes-Maritimes. Ce dernier rappelle que plusieurs villas des alentours sont parties pour 150 millions d'euros.

Le prix annoncé pour la Léopolda semble cependant démesuré. À titre de comparaison, l'an­cien ministère de la Coopération, un hôtel particulier près des Invalides de 7 000 m², a récemment été vendu à des Russes pour 142 millions d'euros.

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Le compromis de vente de la villa Léopolda aurait été signé il y a quelques jours devant un notaire niçois et devrait se finaliser début septembre. La propriétaire, Lily Safra, veuve du banquier suisse d'origine libanaise Edmond Safra, mort dans un incendie criminel en 1999, serait de son côté représentée par un notaire parisien. Le prix aurait atteint de tels sommets car elle ne souhaitait pas vendre la villa.


Riche de plusieurs vies

Avant les Safra, d'autres propriétaires prestigieux ont arpenté les quelque dix hectares de la demeure où croissent plus de mille deux cents oliviers, cyprès, citronniers et orangers. Construite dans les années 1900 par le roi des Belges, Léopold II, elle a vu passer la comtesse de Beauchamp ou encore Giovanni Agnelli, propriétaire des usines Fiat. Riche de plusieurs vies, la demeure fut également transformée en hôpital pour les martyrs de la Grande Guerre par Albert Ier de Monaco.

Roman Abramovitch, autre oligarque russe, propriétaire du club de football de Chelsea, avait été donné comme acheteur de la maison le mois dernier, mais l'information a été démentie. Ces dernières semaines, d'autres rumeurs sur des ventes à 250 millions d'euros ou 400 millions de dollars circulaient parmi les professionnels.

Il faut dire qu'à ces prix, les milliardaires russes semblent les mieux placés. Ils décrochent désormais la majorité des grosses transactions dans la région, aux cap Ferrat, cap d'Antibes et cap Martin. «C'est la course aux enchères : qui aura la maison la plus chère et le plus gros yacht … C'est pourquoi la transaction a peut-être pu s'effectuer à ce chiffre indécent de 500 millions d'euros», commente un spécialiste de l'immobilier. «Après Londres et Monaco, c'est le troisième endroit le plus cher du monde», indique l'agence immobilière de luxe John Taylor. «Cela peut être une manière pour un oligarque richissime mais peu connu de faire parler de lui», ajoute l'agence.

«Les nouveaux Russes attachent une grande valeur sentimentale à la région où l'aristocratie russe avait élu villégiature il y a 70 ans», analyse Jean-Jacques Hermant, président de la chambre des notaires des Alpes-Maritimes. Ce dernier rappelle que plusieurs villas des alentours sont parties pour 150 millions d'euros.

Le prix annoncé pour la Léopolda semble cependant démesuré. À titre de comparaison, l'an­cien ministère de la Coopération, un hôtel particulier près des Invalides de 7 000 m², a récemment été vendu à des Russes pour 142 millions d'euros.

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