Jean-Marie Le Pen fustige Sarkozy
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Jean-Marie Le Pen fustige Sarkozy
Le président du Front national s'est également engagé dimanche à mettre son "parti en ordre de bataille".
"Mes chers amis, avec Sarkozy, tout est verbal, virtuel, non pas vertueux", a déclaré M. Le Pen dans son discours de rentrée politique, prononcé devant 300 adhérents du Front, Evian-les-Bains.
Le leader du FN s'en est également pris à la gauche, estimant que "'Sarko' c'est le déclin, et la gauche c'est la décadence".
"La fameuse +politique de rupture+ n'a conduit qu'à la rupture des
engagements, la soi-disant +politique de civilisation+ n'a pas reçu le moindre début de commencement", a-t-il poursuivi à la clôture de l'Université d'été du FN, évoquant des thèmes politiques chers à M. Sarkozy.
Ecartant la question de son retrait politique, alors que son mandat de président s'achèvera en 2010, il a implicitement fait référence au récent débat autour de sa succession, et à sa préférence pour sa fille Marine Le Pen aux dépens de Bruno Gollnisch, tous deux vice-présidents du FN et candidats déclarés à la tête du parti.
"Nous savons que nous n'avons pas le droit de laisser nos sentiments personnels l'emporter sur les intérêts de la patrie", a dit M. Le Pen, soulignant qu'il ne fallait pas "prêter la main" aux "ennemis" du FN qui espèrent sa "désintégration".
"Mes chers amis, avec Sarkozy, tout est verbal, virtuel, non pas vertueux", a déclaré M. Le Pen dans son discours de rentrée politique, prononcé devant 300 adhérents du Front, Evian-les-Bains.
Le leader du FN s'en est également pris à la gauche, estimant que "'Sarko' c'est le déclin, et la gauche c'est la décadence".
"La fameuse +politique de rupture+ n'a conduit qu'à la rupture des
engagements, la soi-disant +politique de civilisation+ n'a pas reçu le moindre début de commencement", a-t-il poursuivi à la clôture de l'Université d'été du FN, évoquant des thèmes politiques chers à M. Sarkozy.
Ecartant la question de son retrait politique, alors que son mandat de président s'achèvera en 2010, il a implicitement fait référence au récent débat autour de sa succession, et à sa préférence pour sa fille Marine Le Pen aux dépens de Bruno Gollnisch, tous deux vice-présidents du FN et candidats déclarés à la tête du parti.
"Nous savons que nous n'avons pas le droit de laisser nos sentiments personnels l'emporter sur les intérêts de la patrie", a dit M. Le Pen, soulignant qu'il ne fallait pas "prêter la main" aux "ennemis" du FN qui espèrent sa "désintégration".
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