Fadela dit stop au Destop
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Fadela dit stop au Destop
Fadela
Amara, secrétaire d’Etat à la politique de la Ville, a-t-elle réclamé
un gros coup de Destop ? Le 15 octobre dernier, alors que les échos des
sifflets contre l’hymne national la veille lors du match France-Tunisie
se font encore entendre, l’audacieuse Fadela est sur le plateau du 13H
de France 2. Et elle est « extrêmement en colère »
Beaucoup, ici, là, ou encore ici mais aussi ici et là ont compris : « Je pense qu’il faut mettre un gros coup de Destop ».
Rony Braumann, fondateur de MSF, en a remis une petite
couche, mardi soir, dans l’émission « Ce soir ou jamais » sur France 3.
Et a déploré que « le Destop est quand même le produit qui sert à déboucher les canalisations. »
Un an après le Kärcher de Nicolas, le Destop de Fadela ! Si la secrétaire d’État nous a habitués à un langage fleuri, le mot passe mal. Mais Fadela Amara se défend de l’avoir prononcé. Il y a donc eu méprise.
Fadela l’incomprise
Halte là. L’ex-militante de « Ni Putes ni Soumises »
est une incomprise. L’audacieuse a réclamé un « coup d’Estoc », et non
un « coup de Destop ». Le Petit Robert écrit : « D’Estoc : avec la pointe de l’épée (…) », « Fig. Donner l’estocade à un adversaire : le réduire à merci, l’achever. ».
Il y a de la Laura Flessel chez notre secrétaire d’État. Et depuis
quelques jours, son équipe de communication s’agite pour que la vérité
surgisse. Sur son blog, dans un billet intitulé « Des propos volontairement déformés dans le but de nuire », Fadela Amara prend pour cible un reportage du Monde.
L’article, paru samedi dernier, retranscrit notamment les réactions à
ses propos dans une école d’Epinay-sur-Seine. Elle affirme son
intention de « porter plainte contre le manquement aux
règles déontologiques du journaliste et contre la malveillance de ce
sociologue qui derrière une posture faussement généreuse, se sert de sa
figure d’autorité sur les jeunes pour exister politiquement ».
Contacté par Bakchich, un collaborateur de la secrétaire d’État confirme l’ire de sa patronne. D’autant plus que « ’coup d’Estoc’ est une expression qu’elle a déjà employée plusieurs fois. » Le cabinet s’est même fendu d’un petit coup de fil au Monde ainsi qu’à la proviseure du collège où avait eu lieu le reportage pour râler et se « renseigner »
sur les conditions d’exercice de la profession d’enseignant du
sociologue au sein de l’établissement. Toutefois la question de la
plainte n’est pas tranchée et ce même collaborateur assure que Fadela
Amara réfléchit à la possibilité d’un droit de réponse dans le
quotidien du soir.
Le Monde et le plan banlieue
De son côté, Mustapha Kessous, le journaliste auteur du
reportage plaide la bonne foi assurant avoir mal compris les propos en
question et démentant toute volonté de nuire. Quant à Jean-Claude
Tchicaya, l’enseignant-sociologue interviewé, par ailleurs porte-parole
de l’association « Devoirs de Mémoires », il réitère ses propos : « Je
suis écœuré. Que ce soit d’Estoc ou Destop, ce n’est pas avec ce genre
de vocabulaire que l’on règlera le malaise identitaire. »
Une chose est sûre, l’équipe de com veille de près à
l’image de la secrétaire d’État en banlieue. Celle-ci vient pourtant de
reporter sans plus d’explication sa participation, à Sarcelles, à un
forum sur… les médias et la banlieue. Son dossier phare. Un dossier que
le Monde avait, deux jours avant le reportage incriminé, vivement critiqué. Soulignant que « le plan banlieue de Fadela Amara n’a rien changé sur le terrain »… Les raisons de la colère ?
Amara, secrétaire d’Etat à la politique de la Ville, a-t-elle réclamé
un gros coup de Destop ? Le 15 octobre dernier, alors que les échos des
sifflets contre l’hymne national la veille lors du match France-Tunisie
se font encore entendre, l’audacieuse Fadela est sur le plateau du 13H
de France 2. Et elle est « extrêmement en colère »
Beaucoup, ici, là, ou encore ici mais aussi ici et là ont compris : « Je pense qu’il faut mettre un gros coup de Destop ».
Rony Braumann, fondateur de MSF, en a remis une petite
couche, mardi soir, dans l’émission « Ce soir ou jamais » sur France 3.
Et a déploré que « le Destop est quand même le produit qui sert à déboucher les canalisations. »
Un an après le Kärcher de Nicolas, le Destop de Fadela ! Si la secrétaire d’État nous a habitués à un langage fleuri, le mot passe mal. Mais Fadela Amara se défend de l’avoir prononcé. Il y a donc eu méprise.
Fadela l’incomprise
Halte là. L’ex-militante de « Ni Putes ni Soumises »
est une incomprise. L’audacieuse a réclamé un « coup d’Estoc », et non
un « coup de Destop ». Le Petit Robert écrit : « D’Estoc : avec la pointe de l’épée (…) », « Fig. Donner l’estocade à un adversaire : le réduire à merci, l’achever. ».
Il y a de la Laura Flessel chez notre secrétaire d’État. Et depuis
quelques jours, son équipe de communication s’agite pour que la vérité
surgisse. Sur son blog, dans un billet intitulé « Des propos volontairement déformés dans le but de nuire », Fadela Amara prend pour cible un reportage du Monde.
L’article, paru samedi dernier, retranscrit notamment les réactions à
ses propos dans une école d’Epinay-sur-Seine. Elle affirme son
intention de « porter plainte contre le manquement aux
règles déontologiques du journaliste et contre la malveillance de ce
sociologue qui derrière une posture faussement généreuse, se sert de sa
figure d’autorité sur les jeunes pour exister politiquement ».
Contacté par Bakchich, un collaborateur de la secrétaire d’État confirme l’ire de sa patronne. D’autant plus que « ’coup d’Estoc’ est une expression qu’elle a déjà employée plusieurs fois. » Le cabinet s’est même fendu d’un petit coup de fil au Monde ainsi qu’à la proviseure du collège où avait eu lieu le reportage pour râler et se « renseigner »
sur les conditions d’exercice de la profession d’enseignant du
sociologue au sein de l’établissement. Toutefois la question de la
plainte n’est pas tranchée et ce même collaborateur assure que Fadela
Amara réfléchit à la possibilité d’un droit de réponse dans le
quotidien du soir.
Le Monde et le plan banlieue
De son côté, Mustapha Kessous, le journaliste auteur du
reportage plaide la bonne foi assurant avoir mal compris les propos en
question et démentant toute volonté de nuire. Quant à Jean-Claude
Tchicaya, l’enseignant-sociologue interviewé, par ailleurs porte-parole
de l’association « Devoirs de Mémoires », il réitère ses propos : « Je
suis écœuré. Que ce soit d’Estoc ou Destop, ce n’est pas avec ce genre
de vocabulaire que l’on règlera le malaise identitaire. »
Une chose est sûre, l’équipe de com veille de près à
l’image de la secrétaire d’État en banlieue. Celle-ci vient pourtant de
reporter sans plus d’explication sa participation, à Sarcelles, à un
forum sur… les médias et la banlieue. Son dossier phare. Un dossier que
le Monde avait, deux jours avant le reportage incriminé, vivement critiqué. Soulignant que « le plan banlieue de Fadela Amara n’a rien changé sur le terrain »… Les raisons de la colère ?
coal- Messages : 2424
Date d'inscription : 23/02/2008
Localisation : l'Elysée, 55 rue du faubourg Saint-Honoré 75008 Paris
Re: Fadela dit stop au Destop
coal a écrit:Fadela
Amara, secrétaire d’Etat à la politique de la Ville, a-t-elle réclamé
un gros coup de Destop ? Le 15 octobre dernier, alors que les échos des
sifflets contre l’hymne national la veille lors du match France-Tunisie
se font encore entendre, l’audacieuse Fadela est sur le plateau du 13H
de France 2. Et elle est « extrêmement en colère »
Beaucoup, ici, là, ou encore ici mais aussi ici et là ont compris : « Je pense qu’il faut mettre un gros coup de Destop ».
Rony Braumann, fondateur de MSF, en a remis une petite
couche, mardi soir, dans l’émission « Ce soir ou jamais » sur France 3.
Et a déploré que « le Destop est quand même le produit qui sert à déboucher les canalisations. »
Un an après le Kärcher de Nicolas, le Destop de Fadela ! Si la secrétaire d’État nous a habitués à un langage fleuri, le mot passe mal. Mais Fadela Amara se défend de l’avoir prononcé. Il y a donc eu méprise.
Fadela l’incomprise
Halte là. L’ex-militante de « Ni Putes ni Soumises »
est une incomprise. L’audacieuse a réclamé un « coup d’Estoc », et non
un « coup de Destop ». Le Petit Robert écrit : « D’Estoc : avec la pointe de l’épée (…) », « Fig. Donner l’estocade à un adversaire : le réduire à merci, l’achever. ».
Il y a de la Laura Flessel chez notre secrétaire d’État. Et depuis
quelques jours, son équipe de communication s’agite pour que la vérité
surgisse. Sur son blog, dans un billet intitulé « Des propos volontairement déformés dans le but de nuire », Fadela Amara prend pour cible un reportage du Monde.
L’article, paru samedi dernier, retranscrit notamment les réactions à
ses propos dans une école d’Epinay-sur-Seine. Elle affirme son
intention de « porter plainte contre le manquement aux
règles déontologiques du journaliste et contre la malveillance de ce
sociologue qui derrière une posture faussement généreuse, se sert de sa
figure d’autorité sur les jeunes pour exister politiquement ».
Contacté par Bakchich, un collaborateur de la secrétaire d’État confirme l’ire de sa patronne. D’autant plus que « ’coup d’Estoc’ est une expression qu’elle a déjà employée plusieurs fois. » Le cabinet s’est même fendu d’un petit coup de fil au Monde ainsi qu’à la proviseure du collège où avait eu lieu le reportage pour râler et se « renseigner »
sur les conditions d’exercice de la profession d’enseignant du
sociologue au sein de l’établissement. Toutefois la question de la
plainte n’est pas tranchée et ce même collaborateur assure que Fadela
Amara réfléchit à la possibilité d’un droit de réponse dans le
quotidien du soir.
Le Monde et le plan banlieue
De son côté, Mustapha Kessous, le journaliste auteur du
reportage plaide la bonne foi assurant avoir mal compris les propos en
question et démentant toute volonté de nuire. Quant à Jean-Claude
Tchicaya, l’enseignant-sociologue interviewé, par ailleurs porte-parole
de l’association « Devoirs de Mémoires », il réitère ses propos : « Je
suis écœuré. Que ce soit d’Estoc ou Destop, ce n’est pas avec ce genre
de vocabulaire que l’on règlera le malaise identitaire. »
Une chose est sûre, l’équipe de com veille de près à
l’image de la secrétaire d’État en banlieue. Celle-ci vient pourtant de
reporter sans plus d’explication sa participation, à Sarcelles, à un
forum sur… les médias et la banlieue. Son dossier phare. Un dossier que
le Monde avait, deux jours avant le reportage incriminé, vivement critiqué. Soulignant que « le plan banlieue de Fadela Amara n’a rien changé sur le terrain »… Les raisons de la colère ?
Moi j'ai compris: Débouchoir à ventouse pour ses problèmes de canalisations .
Démonstration
Arsene du PDC- Messages : 2026
Date d'inscription : 24/02/2008
Age : 114
Re: Fadela dit stop au Destop
merde ,,elle a pas dit ,,faut y niquer sa mère ??
patrianostra- Messages : 1249
Date d'inscription : 20/07/2008
Re: Fadela dit stop au Destop
patrianostra a écrit:merde ,,elle a pas dit ,,faut y niquer sa mère ??
faut y niquer sa mère ou sa merde
Arsene du PDC- Messages : 2026
Date d'inscription : 24/02/2008
Age : 114
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