Lutter contre le déficit de la Sécu = sanctionner les fraudeurs?
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Lutter contre le déficit de la Sécu = sanctionner les fraudeurs?
Le président de la République, accompagné de la ministre de la Santé Roselyne Bachelot, se sont rendus ce jeudi à Bletterans (Jura) pour parler de la sécurité sociale.
Objectif: Retour à l'équilibre des finances de l'assurance maladie en 2011.
Moyens à mettre en oeuvre:
- Lutte contre le gaspillage
"Pour que notre système de santé reste solidaire, il faut prendre nos responsabilités" a affirmé le chef de l'Etat. Avant d'expliquer que "tout acte médical accompli doit l'être de la façon la plus économe possible: 200 milliards d'euros dépensés pour la santé. On n'a pas les moyens de dépenser de l'argent pour rien".
Et d'argumenter: "La performance de notre système de santé est la garantie de sa pérennité. C'est par la recherche constante de l'efficience que nous pourrons satisfaire la demande sanitaire des Français en assurant des revenus satisfaisants au personnel de santé, le tout sans déstabiliser notre économie."
- Sanctions contre les fraudeurs
"L'assurance-maladie doit s'appuyer sur de nouveaux instruments pour s'attaquer aux fraudes" a expliqué le président de la République. Au coeur du dispositif, le président de la République veut mettre en place, dès l'an prochain, un système de pénalités-plancher pour lutter contre les arnaques à la Sécu.
- Accroissement de la prévention
Pour que l'assurance-maladie coûte moins cher, une autre piste est de limiter au maximum les maladies. C'est pourquoi Nicolas Sarkozy souhaite, par exemple, faire de la "politique de prévention" un "fer de lance de la lutte contre l'obésité", en consacrant plus de "10% du budget santé à la prévention". Mais, a ajouté le chef de l'Etat, "la prévention n'est pas l'apanage des seuls médecins, elle est l'affaire de tous: parents, élus, (...) médias".
Objectif: Retour à l'équilibre des finances de l'assurance maladie en 2011.
Moyens à mettre en oeuvre:
- Lutte contre le gaspillage
"Pour que notre système de santé reste solidaire, il faut prendre nos responsabilités" a affirmé le chef de l'Etat. Avant d'expliquer que "tout acte médical accompli doit l'être de la façon la plus économe possible: 200 milliards d'euros dépensés pour la santé. On n'a pas les moyens de dépenser de l'argent pour rien".
Et d'argumenter: "La performance de notre système de santé est la garantie de sa pérennité. C'est par la recherche constante de l'efficience que nous pourrons satisfaire la demande sanitaire des Français en assurant des revenus satisfaisants au personnel de santé, le tout sans déstabiliser notre économie."
- Sanctions contre les fraudeurs
"L'assurance-maladie doit s'appuyer sur de nouveaux instruments pour s'attaquer aux fraudes" a expliqué le président de la République. Au coeur du dispositif, le président de la République veut mettre en place, dès l'an prochain, un système de pénalités-plancher pour lutter contre les arnaques à la Sécu.
- Accroissement de la prévention
Pour que l'assurance-maladie coûte moins cher, une autre piste est de limiter au maximum les maladies. C'est pourquoi Nicolas Sarkozy souhaite, par exemple, faire de la "politique de prévention" un "fer de lance de la lutte contre l'obésité", en consacrant plus de "10% du budget santé à la prévention". Mais, a ajouté le chef de l'Etat, "la prévention n'est pas l'apanage des seuls médecins, elle est l'affaire de tous: parents, élus, (...) médias".
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