Quand Sœur Emmanuelle se masturbait
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Quand Sœur Emmanuelle se masturbait
Quand Sœur Emmanuelle se masturbait
source : NOUVELOBS.COM | 24.10.2008 | 16:33
Dans ses mémoires posthumes, sœur Emmanuelle choisit de se "mettre à nu", racontant sans détour son expérience du désir sexuel et de la masturbation.
Les mémoires posthumes de sœur Emmanuelle, sorties en librairies jeudi 23 octobre, dévoilent une femme de Dieu prête "ternir l'image idéale que fabriquent les média" pour aborder sans détour l'expérience du désir sexuel et de l'abstinence.
Dans "Confession d'une religieuse" (Flammarion), sœur Emmanuelle choisit, comme elle l'explique elle-même dans ces lignes écrites en 1989, de "se mettre à nu" et de descendre jusqu'à cette vase inconsistante que recèle tout cœur d'homme…" "Je m'en excuse par avance", poursuit-elle, "la vérité ne comporte-t-elle pas une certaine crudité?"
"Je me trémoussais en classe"
Et la religieuse, en effet ne cache rien. "Comment et à quelle occasion ai-je commencé à me masturber, je ne m'en souviens pas. Je pensais que ce n'était pas bien, puisque je le faisais en cachette et plus volontiers à l'école, où je me croyais plus en sureté. Un jour, les joues en feu, je me trémoussais en classe et subitement j'ai vu la maitresse me regarder sévèrement à travers la vitre de la porte. Elle m'expliqua que je ne devais plus recommencer. Mais c'était devenu une habitude. (…) Depuis lors se sont développés dans ma chair un penchant pour la volupté et une obsession de la sensualité.
"Il me faut un homme"
Sœur Emmanuelle raconte une expérience plus tardive de désir physique, alors qu'elle avait 20 ans: "Un soir je me sens à bout. Il me faut un homme. Il est huit heures moins le quart. Je cherche une rue sombre. Un individu s'approche, me scrute, me saisit le bras. Je le laisse faire. Nous marchons côte à côte. La fièvre qui me possède tombe, je ne sais pas pourquoi. Subitement refroidie, je lui réponds à peine (…) Il me lâche et, d'une voix paternelle, il me glisse: "'mon enfant, rentrez chez vous'"
Tournant le dos à la pudibonderie, sœur Emmanuelle conclut sur le sujet en se disant "persuadée que ce qu'on nomme 'les péchés de la chair' sont les moins graves aux yeux de Dieu."
@++ Indians
source : NOUVELOBS.COM | 24.10.2008 | 16:33
Dans ses mémoires posthumes, sœur Emmanuelle choisit de se "mettre à nu", racontant sans détour son expérience du désir sexuel et de la masturbation.
Les mémoires posthumes de sœur Emmanuelle, sorties en librairies jeudi 23 octobre, dévoilent une femme de Dieu prête "ternir l'image idéale que fabriquent les média" pour aborder sans détour l'expérience du désir sexuel et de l'abstinence.
Dans "Confession d'une religieuse" (Flammarion), sœur Emmanuelle choisit, comme elle l'explique elle-même dans ces lignes écrites en 1989, de "se mettre à nu" et de descendre jusqu'à cette vase inconsistante que recèle tout cœur d'homme…" "Je m'en excuse par avance", poursuit-elle, "la vérité ne comporte-t-elle pas une certaine crudité?"
"Je me trémoussais en classe"
Et la religieuse, en effet ne cache rien. "Comment et à quelle occasion ai-je commencé à me masturber, je ne m'en souviens pas. Je pensais que ce n'était pas bien, puisque je le faisais en cachette et plus volontiers à l'école, où je me croyais plus en sureté. Un jour, les joues en feu, je me trémoussais en classe et subitement j'ai vu la maitresse me regarder sévèrement à travers la vitre de la porte. Elle m'expliqua que je ne devais plus recommencer. Mais c'était devenu une habitude. (…) Depuis lors se sont développés dans ma chair un penchant pour la volupté et une obsession de la sensualité.
"Il me faut un homme"
Sœur Emmanuelle raconte une expérience plus tardive de désir physique, alors qu'elle avait 20 ans: "Un soir je me sens à bout. Il me faut un homme. Il est huit heures moins le quart. Je cherche une rue sombre. Un individu s'approche, me scrute, me saisit le bras. Je le laisse faire. Nous marchons côte à côte. La fièvre qui me possède tombe, je ne sais pas pourquoi. Subitement refroidie, je lui réponds à peine (…) Il me lâche et, d'une voix paternelle, il me glisse: "'mon enfant, rentrez chez vous'"
Tournant le dos à la pudibonderie, sœur Emmanuelle conclut sur le sujet en se disant "persuadée que ce qu'on nomme 'les péchés de la chair' sont les moins graves aux yeux de Dieu."
@++ Indians
Re: Quand Sœur Emmanuelle se masturbait
Trop forte la bonne soeur.
Comme quoi, y'a aussi des cathos bien...
Comme quoi, y'a aussi des cathos bien...
pefm- Messages : 1376
Date d'inscription : 26/02/2008
Re: Quand Sœur Emmanuelle se masturbait
pefm a écrit:Trop forte la bonne soeur.
Comme quoi, y'a aussi des cathos bien...
Attention la branlette et autres "pignolades", ça rend sourd (e). Mais on vit vieux qu'en même , la preuve (98 ans) .
Scoop, le livre de chevet de Ma Soeur Emma !
(Comment être "bonne" au lit)
Arsene du PDC- Messages : 2026
Date d'inscription : 24/02/2008
Age : 114
Re: Quand Sœur Emmanuelle se masturbait
Vaut mieux sinon plus de gosse'les péchés de la chair' sont les moins graves aux yeux de Dieu."
et si plus de gosse plus d'enfant de chœur, triste pour tous ces prêtes pédophile
Ducat- Respecteur du con d'en face
- Messages : 2285
Date d'inscription : 25/02/2008
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