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Quand Fillon se fait insulter par des retraités

2 participants

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Quand Fillon se fait insulter par des retraités Empty Quand Fillon se fait insulter par des retraités

Message  coal Mar 28 Oct - 0:20

VIDEO ICI

Pauvre François Fillon! Ce lundi matin, le Premier ministre s'est fait chahuter par des manifestants lors d'une visite à Manosque (Alpes de Haute-Provence).




Le Premier ministre avait choisi de se déplacer dans cette cité
provençale, siège de l'entreprise "L'Occitane" créée en 1976, pour un
déplacement sur le thème du développement local, comme le précise RTL. Mais ça ne s'est pas très bien passé





(Source: France 3)

Fillon arrive... Et là, c'est le drame!
"À peine sorti de sa voiture, François Fillon s'est fait copieusement
siffler par une centaine de manifestants qui réclament l'implantation
d'un service de réanimation dans le nouvel hôpital de la ville", comme
le précise RTL.

A un monsieur qui refusait de lui serrer la main, Fillon n'a pas dit "Casse toi pauvre con"... Il s'est contenté de lui répondre de manière ironique, en déclarant: "Cela s'appelle le dialogue républicain..."

Certains ont scandé des slogans : "De l'argent pour les salariés pas
pour les banquiers" et même des retraités ont insulté le chef du
gouvernement, selon RTL.

Communication ratée!
Le chef du gouvernement souhaitait innover en inaugurant un nouveau
type de déplacement sur le terrain : rester plus longtemps, voir plus
de monde et vanter les mérites de la ville. Le but: montrer que même en
temps de crise, il y a des choses qui marchent! Plutôt raté..


(Sources:
RTL, France 3)

Fillon à Manosque pour "vendre" les mesures anti-crise, accueil sous les sifflets


Il le dit, il le répète : "Si on met tant d'argent dans les banques, c'est pour protéger les économies des Français". François Fillon est à Manosque en pédagogue du plan anti-crise, et tant pis si la gauche en profite pour se faire entendre. Lire la suite l'article

Manifestation à Manosque lors de la visite de François Fillon le 27 octobre 2008
Agrandir la photo

A la mairie, puis face à la presse locale et enfin dans une usine de
cosmétiques, le Premier ministre explique inlassablement l'usage des
centaines de milliards mobilisés pour les établissements financiers."Nous
ne donnons pas d'argent aux banques, nous leur en prêtons",
insiste-t-il, répétant que "l'Etat va se conduire en investisseur
avisé". Et si M. Fillon s'est rendu ce lundi en Haute-Provence, dit-il,
c'est parce qu'il "entend dire beaucoup de bêtises sur les dispositifs
qu'on a mis en place et sur les milliards qui volent".Dans la
ville de Giono, il annonce sa nouvelle intention de "sillonner notre
pays, pas seulement pour aller, comme on l'attend trop souvent d'un
chef de gouvernement, y annoncer des choses, mais aussi pour écouter et
dialoguer".En d'autres termes, à Nicolas Sarkozy les annonces tambour battant, à François Fillon les explications calmes et détaillées.Mais
Manosque, 23.000 habitants, ne pense pas qu'à la crise mondiale. Elle
s'émeut pour son futur hôpital, privé d'un service de réanimation.
Malgré une présence policière imposante, une cinquantaine de
manifestants CGT, PS et PCF sont parvenus jusque devant la mairie. Ils sifflent copieusement le Premier ministre à sa descente de voiture.Celui-ci
est justement venu avec une bonne nouvelle : l'établissement aura bien
sa "réa", annonce-t-il dans son discours, s'amusant au passage du
"harcèlement" qu'il a subi de la part de Bernard Jeanmet-Peralta, le
maire UMP.A sa sortie du bâtiment, les huées redoublent.
Contrairement à son habitude, le chef du gouvernement fend la petite
foule de ses supporteurs locaux et fonce vers ses détracteurs.Il tente de prendre la parole, mais les "Fillon, démission !" couvrent sa voix."Alors
c'est ça, le dialogue républicain ? Eh bien, c'est pas grave !",
s'agace-t-il avant de tourner les talons. Les lazzis, parfois
grossiers, continuent de plus belle."J'ai voulu leur annoncer
qu'on avait trouvé une solution pour la réanimation", dira-t-il ensuite
à la presse. "Mais si on veut se parler, il faut au moins se serrer la
main".Après le déjeuner avec des élus et des entrepreneurs, le
Premier ministre se rend à l'usine de produits de beauté. Comme
souvent, les ateliers sont parcourus au pas de course. Mais cette fois
encore, François Fillon rompt avec l'habitude, en concluant sa visite
par un dialogue à bâtons rompus avec les salariés.L'échange dure
une grosse demi-heure. Le chef du gouvernement est interpellé sur le
bouclier fiscal. On lui demande quand s'achèvera la crise.
"Franchement, personne n'en sait rien", répond-il du tac au tac, avant
d'expliquer à nouveau "tout ce qui est fait pour que cette fois, la
France ne se relève pas de la crise un an après les autres".En fin de journée, la CGT locale sortira un communiqué mordant sur le "coup de mistral pour le Premier ministre à Manosque".Pas
de quoi, apparemment, remettre en cause la tournée d'explication de
François Fillon. "Dans les semaines qui viennent", promet-il aux
journalistes, "vous aurez encore l'occasion de vous promener dans la
France profonde".
coal
coal

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Quand Fillon se fait insulter par des retraités Empty Re: Quand Fillon se fait insulter par des retraités

Message  Arsene du PDC Mar 28 Oct - 9:49

coal a écrit:VIDEO ICI

Pauvre François Fillon! Ce lundi matin, le Premier ministre s'est fait chahuter par des manifestants lors d'une visite à Manosque (Alpes de Haute-Provence).




Le Premier ministre avait choisi de se déplacer dans cette cité
provençale, siège de l'entreprise "L'Occitane" créée en 1976, pour un
déplacement sur le thème du développement local, comme le précise RTL. Mais ça ne s'est pas très bien passé





(Source: France 3)

Fillon arrive... Et là, c'est le drame!
"À peine sorti de sa voiture, François Fillon s'est fait copieusement
siffler par une centaine de manifestants qui réclament l'implantation
d'un service de réanimation dans le nouvel hôpital de la ville", comme
le précise RTL.

A un monsieur qui refusait de lui serrer la main, Fillon n'a pas dit "Casse toi pauvre con"... Il s'est contenté de lui répondre de manière ironique, en déclarant: "Cela s'appelle le dialogue républicain..."

Certains ont scandé des slogans : "De l'argent pour les salariés pas
pour les banquiers" et même des retraités ont insulté le chef du
gouvernement, selon RTL.

Communication ratée!
Le chef du gouvernement souhaitait innover en inaugurant un nouveau
type de déplacement sur le terrain : rester plus longtemps, voir plus
de monde et vanter les mérites de la ville. Le but: montrer que même en
temps de crise, il y a des choses qui marchent! Plutôt raté..


(Sources:
RTL, France 3)

Fillon à Manosque pour "vendre" les mesures anti-crise, accueil sous les sifflets


Il le dit, il le répète : "Si on met tant d'argent dans les banques, c'est pour protéger les économies des Français". François Fillon est à Manosque en pédagogue du plan anti-crise, et tant pis si la gauche en profite pour se faire entendre. Lire la suite l'article

Manifestation à Manosque lors de la visite de François Fillon le 27 octobre 2008
Agrandir la photo

A la mairie, puis face à la presse locale et enfin dans une usine de
cosmétiques, le Premier ministre explique inlassablement l'usage des
centaines de milliards mobilisés pour les établissements financiers."Nous
ne donnons pas d'argent aux banques, nous leur en prêtons",
insiste-t-il, répétant que "l'Etat va se conduire en investisseur
avisé". Et si M. Fillon s'est rendu ce lundi en Haute-Provence, dit-il,
c'est parce qu'il "entend dire beaucoup de bêtises sur les dispositifs
qu'on a mis en place et sur les milliards qui volent".Dans la
ville de Giono, il annonce sa nouvelle intention de "sillonner notre
pays, pas seulement pour aller, comme on l'attend trop souvent d'un
chef de gouvernement, y annoncer des choses, mais aussi pour écouter et
dialoguer".En d'autres termes, à Nicolas Sarkozy les annonces tambour battant, à François Fillon les explications calmes et détaillées.Mais
Manosque, 23.000 habitants, ne pense pas qu'à la crise mondiale. Elle
s'émeut pour son futur hôpital, privé d'un service de réanimation.
Malgré une présence policière imposante, une cinquantaine de
manifestants CGT, PS et PCF sont parvenus jusque devant la mairie. Ils sifflent copieusement le Premier ministre à sa descente de voiture.Celui-ci
est justement venu avec une bonne nouvelle : l'établissement aura bien
sa "réa", annonce-t-il dans son discours, s'amusant au passage du
"harcèlement" qu'il a subi de la part de Bernard Jeanmet-Peralta, le
maire UMP.A sa sortie du bâtiment, les huées redoublent.
Contrairement à son habitude, le chef du gouvernement fend la petite
foule de ses supporteurs locaux et fonce vers ses détracteurs.Il tente de prendre la parole, mais les "Fillon, démission !" couvrent sa voix."Alors
c'est ça, le dialogue républicain ? Eh bien, c'est pas grave !",
s'agace-t-il avant de tourner les talons. Les lazzis, parfois
grossiers, continuent de plus belle."J'ai voulu leur annoncer
qu'on avait trouvé une solution pour la réanimation", dira-t-il ensuite
à la presse. "Mais si on veut se parler, il faut au moins se serrer la
main".Après le déjeuner avec des élus et des entrepreneurs, le
Premier ministre se rend à l'usine de produits de beauté. Comme
souvent, les ateliers sont parcourus au pas de course. Mais cette fois
encore, François Fillon rompt avec l'habitude, en concluant sa visite
par un dialogue à bâtons rompus avec les salariés.L'échange dure
une grosse demi-heure. Le chef du gouvernement est interpellé sur le
bouclier fiscal. On lui demande quand s'achèvera la crise.
"Franchement, personne n'en sait rien", répond-il du tac au tac, avant
d'expliquer à nouveau "tout ce qui est fait pour que cette fois, la
France ne se relève pas de la crise un an après les autres".En fin de journée, la CGT locale sortira un communiqué mordant sur le "coup de mistral pour le Premier ministre à Manosque".Pas
de quoi, apparemment, remettre en cause la tournée d'explication de
François Fillon. "Dans les semaines qui viennent", promet-il aux
journalistes, "vous aurez encore l'occasion de vous promener dans la
France profonde".

Qu'il se "pointe" du côté d'Arras ou de Douai, va être "servi" le Fion, je serai là Exclamation Very Happy , en patois et en Franchois pour le "Monsieur", Arrow "Casse t..... En...lé, et autres "joyeusetés" Laughing
Arsene du PDC
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