Le compte secret de Jacques Chirac
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Le compte secret de Jacques Chirac
Il n'est plus président de la république mais il continue de faire l'actualité. Le compte secret au Japon de Jacques Chirac alimente les polémiques.
Le juge polynésien Jean-François Redonnet est en charge de l’enquête sur la mort d’un journaliste local, Jean-Pascal Couraud. La justice tahitienne avait conclu à son suicide en décembre 1997 avant que sa famille n'obtienne la réouverture d'une information judiciaire pour homicide. Le journaliste enquêtait sur les malversations de Gaston Flosse président polynésien et proche de Jacques Chirac et aurait été jeté dans un lagon avec des parpaings aux pieds.
Une note de la DGSE avait été saisie en marge de l'affaire Clearstream et disait: «le montant des sommes versées sur le compte ouvert à la Tokyo Sowa Bank au nom de M. Chirac serait de trois cents millions de francs.»
L’hypothèse du journaliste décédé, confirmée à Libération par un ancien gendarme de Papeete, était qu’une subvention délivrée par Flosse à un hôtel local géré par son fils, aurait pu être exfiltrée en d’autres lieux. «Une grande partie de cet argent, a un jour écrit Tahiti-Pacifique Magazine, aurait ensuite été versée sur le compte d’un banquier japonais réputé être très proche de Jacques Chirac».
Cependant cela ne constitue en rien une preuve, mais l'entourage de Jacques Chirac dément la détention d'un compte au Japon. Un simple compte qui n'aurait rien de frauduleux, devient paradoxalement suspect. Un sushi en plus pour l'ancien président. Qui se sent morveux se mouche.
Le juge polynésien Jean-François Redonnet est en charge de l’enquête sur la mort d’un journaliste local, Jean-Pascal Couraud. La justice tahitienne avait conclu à son suicide en décembre 1997 avant que sa famille n'obtienne la réouverture d'une information judiciaire pour homicide. Le journaliste enquêtait sur les malversations de Gaston Flosse président polynésien et proche de Jacques Chirac et aurait été jeté dans un lagon avec des parpaings aux pieds.
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