"Sauf circonstances exceptionnelles", Le Pen ne sera pas candidat en 2012

[maverick]

L'heure de la retraite a sonné. Jean-Marie Le Pen explique pour la première fois qu'il ne sera pas candidat à la présidentielle de 2012, "sauf circonstances exceptionnelles", dans une interview accordée à l'hebdomadaire Valeurs Actuelles publié jeudi. Le leader du Front national, âgé de 80 ans, devrait donc abandonner son poste de président lors du prochain congrès de 2010, après 36 ans de règne à la tête du parti.

À deux jours de l'ouverture de l'université d'été du parti à Évian en Haute-Savoie, Jean-Marie Le Pen ne laisse donc plus planer de doute sur son prochain départ. De quoi relancer la guerre de succession à la tête du parti qu'il a créé en 1972. Interrogé sur le fait de savoir si sa fille Marine est la mieux placée pour lui succéder, le fondateur du parti répond "qu'étant en responsabilité pour encore au moins deux ans" à la tête du FN, "la question pour l'heure ne se pose pas".

Marine Le Pen, la fille préférée

Mais il donne quand même sa préférence et détaille les atouts de sa fille pour prendre la tête du parti face à Bruno Gollnisch. Actuellement vice-président exécutif du parti, ce dernier brigue également le poste de président du parti. "Marine n'est pas populaire que sur son nom. Il y a sa personnalité, son charisme. Elle est sympathique et passe très bien dans les médias", insiste Jean-Marie Le Pen.

Ce dernier évoque aussi "une différence de génération" avec Bruno Gollnisch, soulignant que, par son âge, "Marine est plus proche, forcément, des préoccupations des gens. C'est une jeune mère de famille. Moi, je suis un grand-père. Bruno commence à l'être. Marine, ses enfants ont 10 ans". Et de poursuivre : "Si la prochaine élection a lieu en son temps. Marine aura 43 ans, Bruno 62 ans et moi 83 ans."

Bruno Gollnisch est donc mis sur le banc de touche. "Il est là depuis 30 ans. S'il ne s'est pas mis en avant, c'est peut-être aussi un élément de sa personnalité, qui par d'autres côtés est riche et attachante", insiste également Jean-Marie Le Pen. Néanmoins, l'ancien numéro 2 du parti ne renonce pas pour autant. "J'aurais préféré qu'il eût une position plus arbitrale, au-dessus de la mêlée. Mais je ne vais pas l'empêcher de donner son point de vue. À plusieurs reprises, il avait donné sa préférence pour ma candidature, s'il a changé d'avis, c'est son droit", déclare-t-il dans les colonnes du Parisien .

[coal]

L'heure de la retraite a sonné. Jean-Marie Le Pen explique pour la première fois qu'il ne sera pas candidat à la présidentielle de 2012, "sauf circonstances exceptionnelles", dans une interview accordée à l'hebdomadaire Valeurs Actuelles publié jeudi. Le leader du Front national, âgé de 80 ans, devrait donc abandonner son poste de président lors du prochain congrès de 2010, après 36 ans de règne à la tête du parti.

À deux jours de l'ouverture de l'université d'été du parti à Évian en Haute-Savoie, Jean-Marie Le Pen ne laisse donc plus planer de doute sur son prochain départ. De quoi relancer la guerre de succession à la tête du parti qu'il a créé en 1972. Interrogé sur le fait de savoir si sa fille Marine est la mieux placée pour lui succéder, le fondateur du parti répond "qu'étant en responsabilité pour encore au moins deux ans" à la tête du FN, "la question pour l'heure ne se pose pas".

Marine Le Pen, la fille préférée

Mais il donne quand même sa préférence et détaille les atouts de sa fille pour prendre la tête du parti face à Bruno Gollnisch. Actuellement vice-président exécutif du parti, ce dernier brigue également le poste de président du parti. "Marine n'est pas populaire que sur son nom. Il y a sa personnalité, son charisme. Elle est sympathique et passe très bien dans les médias", insiste Jean-Marie Le Pen.

Ce dernier évoque aussi "une différence de génération" avec Bruno Gollnisch, soulignant que, par son âge, "Marine est plus proche, forcément, des préoccupations des gens. C'est une jeune mère de famille. Moi, je suis un grand-père. Bruno commence à l'être. Marine, ses enfants ont 10 ans". Et de poursuivre : "Si la prochaine élection a lieu en son temps. Marine aura 43 ans, Bruno 62 ans et moi 83 ans."

Bruno Gollnisch est donc mis sur le banc de touche. "Il est là depuis 30 ans. S'il ne s'est pas mis en avant, c'est peut-être aussi un élément de sa personnalité, qui par d'autres côtés est riche et attachante", insiste également Jean-Marie Le Pen. Néanmoins, l'ancien numéro 2 du parti ne renonce pas pour autant. "J'aurais préféré qu'il eût une position plus arbitrale, au-dessus de la mêlée. Mais je ne vais pas l'empêcher de donner son point de vue. À plusieurs reprises, il avait donné sa préférence pour ma candidature, s'il a changé d'avis, c'est son droit", déclare-t-il dans les colonnes du Parisien .

Ben merde il me faisait bien rire

[coal]

L'heure de la retraite a sonné. Jean-Marie Le Pen explique pour la première fois qu'il ne sera pas candidat à la présidentielle de 2012, "sauf circonstances exceptionnelles", dans une interview accordée à l'hebdomadaire Valeurs Actuelles publié jeudi. Le leader du Front national, âgé de 80 ans, devrait donc abandonner son poste de président lors du prochain congrès de 2010, après 36 ans de règne à la tête du parti.

À deux jours de l'ouverture de l'université d'été du parti à Évian en Haute-Savoie, Jean-Marie Le Pen ne laisse donc plus planer de doute sur son prochain départ. De quoi relancer la guerre de succession à la tête du parti qu'il a créé en 1972. Interrogé sur le fait de savoir si sa fille Marine est la mieux placée pour lui succéder, le fondateur du parti répond "qu'étant en responsabilité pour encore au moins deux ans" à la tête du FN, "la question pour l'heure ne se pose pas".

Marine Le Pen, la fille préférée

Mais il donne quand même sa préférence et détaille les atouts de sa fille pour prendre la tête du parti face à Bruno Gollnisch. Actuellement vice-président exécutif du parti, ce dernier brigue également le poste de président du parti. "Marine n'est pas populaire que sur son nom. Il y a sa personnalité, son charisme. Elle est sympathique et passe très bien dans les médias", insiste Jean-Marie Le Pen.

Ce dernier évoque aussi "une différence de génération" avec Bruno Gollnisch, soulignant que, par son âge, "Marine est plus proche, forcément, des préoccupations des gens. C'est une jeune mère de famille. Moi, je suis un grand-père. Bruno commence à l'être. Marine, ses enfants ont 10 ans". Et de poursuivre : "Si la prochaine élection a lieu en son temps. Marine aura 43 ans, Bruno 62 ans et moi 83 ans."

Bruno Gollnisch est donc mis sur le banc de touche. "Il est là depuis 30 ans. S'il ne s'est pas mis en avant, c'est peut-être aussi un élément de sa personnalité, qui par d'autres côtés est riche et attachante", insiste également Jean-Marie Le Pen. Néanmoins, l'ancien numéro 2 du parti ne renonce pas pour autant. "J'aurais préféré qu'il eût une position plus arbitrale, au-dessus de la mêlée. Mais je ne vais pas l'empêcher de donner son point de vue. À plusieurs reprises, il avait donné sa préférence pour ma candidature, s'il a changé d'avis, c'est son droit", déclare-t-il dans les colonnes du Parisien .

Ben merde il me faisait bien rire

[Arsene du PDC]

L'heure de la retraite a sonné. Jean-Marie Le Pen explique pour la première fois qu'il ne sera pas candidat à la présidentielle de 2012, "sauf circonstances exceptionnelles", dans une interview accordée à l'hebdomadaire Valeurs Actuelles publié jeudi. Le leader du Front national, âgé de 80 ans, devrait donc abandonner son poste de président lors du prochain congrès de 2010, après 36 ans de règne à la tête du parti.

À deux jours de l'ouverture de l'université d'été du parti à Évian en Haute-Savoie, Jean-Marie Le Pen ne laisse donc plus planer de doute sur son prochain départ. De quoi relancer la guerre de succession à la tête du parti qu'il a créé en 1972. Interrogé sur le fait de savoir si sa fille Marine est la mieux placée pour lui succéder, le fondateur du parti répond "qu'étant en responsabilité pour encore au moins deux ans" à la tête du FN, "la question pour l'heure ne se pose pas".

Marine Le Pen, la fille préférée

Mais il donne quand même sa préférence et détaille les atouts de sa fille pour prendre la tête du parti face à Bruno Gollnisch. Actuellement vice-président exécutif du parti, ce dernier brigue également le poste de président du parti. "Marine n'est pas populaire que sur son nom. Il y a sa personnalité, son charisme. Elle est sympathique et passe très bien dans les médias", insiste Jean-Marie Le Pen.

Ce dernier évoque aussi "une différence de génération" avec Bruno Gollnisch, soulignant que, par son âge, "Marine est plus proche, forcément, des préoccupations des gens. C'est une jeune mère de famille. Moi, je suis un grand-père. Bruno commence à l'être. Marine, ses enfants ont 10 ans". Et de poursuivre : "Si la prochaine élection a lieu en son temps. Marine aura 43 ans, Bruno 62 ans et moi 83 ans."

Bruno Gollnisch est donc mis sur le banc de touche. "Il est là depuis 30 ans. S'il ne s'est pas mis en avant, c'est peut-être aussi un élément de sa personnalité, qui par d'autres côtés est riche et attachante", insiste également Jean-Marie Le Pen. Néanmoins, l'ancien numéro 2 du parti ne renonce pas pour autant. "J'aurais préféré qu'il eût une position plus arbitrale, au-dessus de la mêlée. Mais je ne vais pas l'empêcher de donner son point de vue. À plusieurs reprises, il avait donné sa préférence pour ma candidature, s'il a changé d'avis, c'est son droit", déclare-t-il dans les colonnes du Parisien .

Ben merde il me faisait bien rire

Bien, cette bonne nouvelle, vous a donné la "tremblotte ? (2 idem) ou c'est l'émotion de perdre un clown comme lui !

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