Le non irlandais frappe de plein fouet la présidence européenne de Sarkozy
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Le non irlandais frappe de plein fouet la présidence européenne de Sarkozy
La crise provoquée par le rejet du traité européen de Lisbonne en Irlande frappe de plein fouet la présidence française de l'Union européenne, remisant au second plan les ambitieux projets que le président Nicolas Sarkozy entendait lancer à partir du 1er juillet.
Pour Hugo Brady, du "Centre for european reform" basé à Londres, la présidence française est d'ores et déjà "plongée dans la confusion la plus totale". "Le sommet européen du 19 juin, encore sous présidence slovène, va s'ouvrir dans une atmosphère de crise", prévient-il.
Avant le non irlandais, M. Sarkozy avait promis de consacrer sa présidence à plusieurs chantiers phares: défense, énergie et réchauffement climatique, Union pour la Méditerranée ou un pacte pour l'immigration.
"Les quatre priorités définies par Nicolas Sarkozy pour la présidence française portent sur le fond et peuvent être atteintes dans le cadre du traité de Nice, malgré la victoire du non irlandais", assurait-on à l'Elysée.
"Ces vrais objectifs concrets doivent montrer que l'UE est capable de répondre aux préoccupations concrètes des Européens, ce qui est précisément tout le message du non irlandais", faisait-on valoir.
Mais M. Sarkozy devait aussi préparer les premières réformes institutionnelles du traité de Lisbonne, comme les nominations du "président de l'UE" et du nouveau Haut représentant des Affaires étrangères, qui ne sont plus à l'ordre du jour.
Ironie de l'Histoire, c'est à Paris qu'il revient d'éviter une paralysie européenne identique à celle qui avait suivi le non français en 2005. Et, comme à l'époque, aucun "plan B" n'est prêt dans les tiroirs européens.
"Les Français vont tenter de sortir de cette pagaille, mais ils n'ont pas beaucoup de temps: si on tient compte des vacances d'août, c'est une présidence de cinq mois", relève Hugo Brady.
Il rappelle qu'après les non français et néerlandais, "aucune réponse immédiate n'a été trouvée: il a été décidé une période de réflexion et rien n'a été fait pendant un bon moment".
Pour Jean-Dominique Giuliani, de la Fondation Robert Schuman, ce précédent va au contraire pousser la présidence française "à accélérer".
"Nicolas Sarkozy va prendre le taureau par les cornes et précipiter les initiatives. Il dira: avance qui veut, mais on ne nous empêchera pas d'avancer", prévoit-il, ajoutant: "la chancelière allemande Angela Merkel a déjà exclu de renégocier".
"On dira aux Irlandais : +quelles sont les garanties que vous voulez+, comme on l'a fait à propos du traité de Nice", qu'ils avaient rejeté dans un premier temps, explique M. Giuliani. Selon lui, "une réaction très vive mettra les Irlandais en situation de dire ce qu'ils veulent".
Mais pour Thomas Klau, du "European Council on Foreign Relations", un tel scénario n'est envisageable que si la crise oppose l'Irlande à ses 26 autres partenaires. Or "si la Grande-Bretagne et la République tchèque cessent à leur tour leur processus de ratification, tout le débat institutionnel sera rouvert sans solution en vue".
Face à Londres et à Prague, la présidence française et ses partenaires pourront faire preuve de persuasion mais n'ont "pas de moyens contraignants", souligne-t-il.
La situation devrait amener la présidence française à tirer les leçons du non irlandais, estime Sylvie Goulard, présidente du Mouvement européen France, selon laquelle toute consultation future de ce type devrait se faire "avec une sanction à la clé en cas de non".
Pour elle, "la présidence française a intérêt à garder son agenda" même s'"il est évident que ce ne sera pas +business as usual+".
Pour Hugo Brady, du "Centre for european reform" basé à Londres, la présidence française est d'ores et déjà "plongée dans la confusion la plus totale". "Le sommet européen du 19 juin, encore sous présidence slovène, va s'ouvrir dans une atmosphère de crise", prévient-il.
Avant le non irlandais, M. Sarkozy avait promis de consacrer sa présidence à plusieurs chantiers phares: défense, énergie et réchauffement climatique, Union pour la Méditerranée ou un pacte pour l'immigration.
"Les quatre priorités définies par Nicolas Sarkozy pour la présidence française portent sur le fond et peuvent être atteintes dans le cadre du traité de Nice, malgré la victoire du non irlandais", assurait-on à l'Elysée.
"Ces vrais objectifs concrets doivent montrer que l'UE est capable de répondre aux préoccupations concrètes des Européens, ce qui est précisément tout le message du non irlandais", faisait-on valoir.
Mais M. Sarkozy devait aussi préparer les premières réformes institutionnelles du traité de Lisbonne, comme les nominations du "président de l'UE" et du nouveau Haut représentant des Affaires étrangères, qui ne sont plus à l'ordre du jour.
Ironie de l'Histoire, c'est à Paris qu'il revient d'éviter une paralysie européenne identique à celle qui avait suivi le non français en 2005. Et, comme à l'époque, aucun "plan B" n'est prêt dans les tiroirs européens.
"Les Français vont tenter de sortir de cette pagaille, mais ils n'ont pas beaucoup de temps: si on tient compte des vacances d'août, c'est une présidence de cinq mois", relève Hugo Brady.
Il rappelle qu'après les non français et néerlandais, "aucune réponse immédiate n'a été trouvée: il a été décidé une période de réflexion et rien n'a été fait pendant un bon moment".
Pour Jean-Dominique Giuliani, de la Fondation Robert Schuman, ce précédent va au contraire pousser la présidence française "à accélérer".
"Nicolas Sarkozy va prendre le taureau par les cornes et précipiter les initiatives. Il dira: avance qui veut, mais on ne nous empêchera pas d'avancer", prévoit-il, ajoutant: "la chancelière allemande Angela Merkel a déjà exclu de renégocier".
"On dira aux Irlandais : +quelles sont les garanties que vous voulez+, comme on l'a fait à propos du traité de Nice", qu'ils avaient rejeté dans un premier temps, explique M. Giuliani. Selon lui, "une réaction très vive mettra les Irlandais en situation de dire ce qu'ils veulent".
Mais pour Thomas Klau, du "European Council on Foreign Relations", un tel scénario n'est envisageable que si la crise oppose l'Irlande à ses 26 autres partenaires. Or "si la Grande-Bretagne et la République tchèque cessent à leur tour leur processus de ratification, tout le débat institutionnel sera rouvert sans solution en vue".
Face à Londres et à Prague, la présidence française et ses partenaires pourront faire preuve de persuasion mais n'ont "pas de moyens contraignants", souligne-t-il.
La situation devrait amener la présidence française à tirer les leçons du non irlandais, estime Sylvie Goulard, présidente du Mouvement européen France, selon laquelle toute consultation future de ce type devrait se faire "avec une sanction à la clé en cas de non".
Pour elle, "la présidence française a intérêt à garder son agenda" même s'"il est évident que ce ne sera pas +business as usual+".
Re: Le non irlandais frappe de plein fouet la présidence européenne de Sarkozy
maverick a écrit:La crise provoquée par le rejet du traité européen de Lisbonne en Irlande frappe de plein fouet la présidence française de l'Union européenne, remisant au second plan les ambitieux projets que le président Nicolas Sarkozy entendait lancer à partir du 1er juillet.
Pour Hugo Brady, du "Centre for european reform" basé à Londres, la présidence française est d'ores et déjà "plongée dans la confusion la plus totale". "Le sommet européen du 19 juin, encore sous présidence slovène, va s'ouvrir dans une atmosphère de crise", prévient-il.
Avant le non irlandais, M. Sarkozy avait promis de consacrer sa présidence à plusieurs chantiers phares: défense, énergie et réchauffement climatique, Union pour la Méditerranée ou un pacte pour l'immigration.
"Les quatre priorités définies par Nicolas Sarkozy pour la présidence française portent sur le fond et peuvent être atteintes dans le cadre du traité de Nice, malgré la victoire du non irlandais", assurait-on à l'Elysée.
"Ces vrais objectifs concrets doivent montrer que l'UE est capable de répondre aux préoccupations concrètes des Européens, ce qui est précisément tout le message du non irlandais", faisait-on valoir.
Mais M. Sarkozy devait aussi préparer les premières réformes institutionnelles du traité de Lisbonne, comme les nominations du "président de l'UE" et du nouveau Haut représentant des Affaires étrangères, qui ne sont plus à l'ordre du jour.
Ironie de l'Histoire, c'est à Paris qu'il revient d'éviter une paralysie européenne identique à celle qui avait suivi le non français en 2005. Et, comme à l'époque, aucun "plan B" n'est prêt dans les tiroirs européens.
"Les Français vont tenter de sortir de cette pagaille, mais ils n'ont pas beaucoup de temps: si on tient compte des vacances d'août, c'est une présidence de cinq mois", relève Hugo Brady.
Il rappelle qu'après les non français et néerlandais, "aucune réponse immédiate n'a été trouvée: il a été décidé une période de réflexion et rien n'a été fait pendant un bon moment".
Pour Jean-Dominique Giuliani, de la Fondation Robert Schuman, ce précédent va au contraire pousser la présidence française "à accélérer".
"Nicolas Sarkozy va prendre le taureau par les cornes et précipiter les initiatives. Il dira: avance qui veut, mais on ne nous empêchera pas d'avancer", prévoit-il, ajoutant: "la chancelière allemande Angela Merkel a déjà exclu de renégocier".
"On dira aux Irlandais : +quelles sont les garanties que vous voulez+, comme on l'a fait à propos du traité de Nice", qu'ils avaient rejeté dans un premier temps, explique M. Giuliani. Selon lui, "une réaction très vive mettra les Irlandais en situation de dire ce qu'ils veulent".
Mais pour Thomas Klau, du "European Council on Foreign Relations", un tel scénario n'est envisageable que si la crise oppose l'Irlande à ses 26 autres partenaires. Or "si la Grande-Bretagne et la République tchèque cessent à leur tour leur processus de ratification, tout le débat institutionnel sera rouvert sans solution en vue".
Face à Londres et à Prague, la présidence française et ses partenaires pourront faire preuve de persuasion mais n'ont "pas de moyens contraignants", souligne-t-il.
La situation devrait amener la présidence française à tirer les leçons du non irlandais, estime Sylvie Goulard, présidente du Mouvement européen France, selon laquelle toute consultation future de ce type devrait se faire "avec une sanction à la clé en cas de non".
Pour elle, "la présidence française a intérêt à garder son agenda" même s'"il est évident que ce ne sera pas +business as usual+".
whouarf wouarf ..... il a vraiment pas de chance je suis mort de rire
coal- Messages : 2424
Date d'inscription : 23/02/2008
Localisation : l'Elysée, 55 rue du faubourg Saint-Honoré 75008 Paris
Re: Le non irlandais frappe de plein fouet la présidence européenne de Sarkozy
coal a écrit:maverick a écrit:La crise provoquée par le rejet du traité européen de Lisbonne en Irlande frappe de plein fouet la présidence française de l'Union européenne, remisant au second plan les ambitieux projets que le président Nicolas Sarkozy entendait lancer à partir du 1er juillet.
Pour Hugo Brady, du "Centre for european reform" basé à Londres, la présidence française est d'ores et déjà "plongée dans la confusion la plus totale". "Le sommet européen du 19 juin, encore sous présidence slovène, va s'ouvrir dans une atmosphère de crise", prévient-il.
Avant le non irlandais, M. Sarkozy avait promis de consacrer sa présidence à plusieurs chantiers phares: défense, énergie et réchauffement climatique, Union pour la Méditerranée ou un pacte pour l'immigration.
"Les quatre priorités définies par Nicolas Sarkozy pour la présidence française portent sur le fond et peuvent être atteintes dans le cadre du traité de Nice, malgré la victoire du non irlandais", assurait-on à l'Elysée.
"Ces vrais objectifs concrets doivent montrer que l'UE est capable de répondre aux préoccupations concrètes des Européens, ce qui est précisément tout le message du non irlandais", faisait-on valoir.
Mais M. Sarkozy devait aussi préparer les premières réformes institutionnelles du traité de Lisbonne, comme les nominations du "président de l'UE" et du nouveau Haut représentant des Affaires étrangères, qui ne sont plus à l'ordre du jour.
Ironie de l'Histoire, c'est à Paris qu'il revient d'éviter une paralysie européenne identique à celle qui avait suivi le non français en 2005. Et, comme à l'époque, aucun "plan B" n'est prêt dans les tiroirs européens.
"Les Français vont tenter de sortir de cette pagaille, mais ils n'ont pas beaucoup de temps: si on tient compte des vacances d'août, c'est une présidence de cinq mois", relève Hugo Brady.
Il rappelle qu'après les non français et néerlandais, "aucune réponse immédiate n'a été trouvée: il a été décidé une période de réflexion et rien n'a été fait pendant un bon moment".
Pour Jean-Dominique Giuliani, de la Fondation Robert Schuman, ce précédent va au contraire pousser la présidence française "à accélérer".
"Nicolas Sarkozy va prendre le taureau par les cornes et précipiter les initiatives. Il dira: avance qui veut, mais on ne nous empêchera pas d'avancer", prévoit-il, ajoutant: "la chancelière allemande Angela Merkel a déjà exclu de renégocier".
"On dira aux Irlandais : +quelles sont les garanties que vous voulez+, comme on l'a fait à propos du traité de Nice", qu'ils avaient rejeté dans un premier temps, explique M. Giuliani. Selon lui, "une réaction très vive mettra les Irlandais en situation de dire ce qu'ils veulent".
Mais pour Thomas Klau, du "European Council on Foreign Relations", un tel scénario n'est envisageable que si la crise oppose l'Irlande à ses 26 autres partenaires. Or "si la Grande-Bretagne et la République tchèque cessent à leur tour leur processus de ratification, tout le débat institutionnel sera rouvert sans solution en vue".
Face à Londres et à Prague, la présidence française et ses partenaires pourront faire preuve de persuasion mais n'ont "pas de moyens contraignants", souligne-t-il.
La situation devrait amener la présidence française à tirer les leçons du non irlandais, estime Sylvie Goulard, présidente du Mouvement européen France, selon laquelle toute consultation future de ce type devrait se faire "avec une sanction à la clé en cas de non".
Pour elle, "la présidence française a intérêt à garder son agenda" même s'"il est évident que ce ne sera pas +business as usual+".
whouarf wouarf ..... il a vraiment pas de chance je suis mort de rire
BIEN FAIT POUR SA GUUUUUUUELE
Arsene du PDC- Messages : 2026
Date d'inscription : 24/02/2008
Age : 114
Re: Le non irlandais frappe de plein fouet la présidence européenne de Sarkozy
respectont la decision irlandaise
comme le non français a ete respecté en son temps
comme le non français a ete respecté en son temps
Re: Le non irlandais frappe de plein fouet la présidence européenne de Sarkozy
papacoz a écrit:respectont la decision irlandaise
comme le non français a ete respecté en son temps
Ah oui vachement respecté , que fais tu du NON au référendum
c'est bien pour cela que ton NAIN l'a fait passé par le parlement pour que ça majorité le vote
Vive la France , Vive la démocratie et FUCK The Blaireaux
coal- Messages : 2424
Date d'inscription : 23/02/2008
Localisation : l'Elysée, 55 rue du faubourg Saint-Honoré 75008 Paris
Re: Le non irlandais frappe de plein fouet la présidence européenne de Sarkozy
Bien qu'étant un européen convaincu - a voté et fait voter le projet de Constitution, je suis assez satisfait du Non irlandais même si leurs raisons ne sont pas les miennes.
En effet, il n'est pas admissible démocratiquement qu'un Parlement vote un projet qui a été repoussé par référendum, c'est en quelque sorte trahir le vote des électeurs (malgré que j'ai voté oui mais je respecte la décision des électeurs, je ne suis pas Tsarko).
En effet, il n'est pas admissible démocratiquement qu'un Parlement vote un projet qui a été repoussé par référendum, c'est en quelque sorte trahir le vote des électeurs (malgré que j'ai voté oui mais je respecte la décision des électeurs, je ne suis pas Tsarko).
pitou- Messages : 909
Date d'inscription : 24/02/2008
Age : 76
Localisation : Près de Poitiers
Re: Le non irlandais frappe de plein fouet la présidence européenne de Sarkozy
pitou a écrit:Bien qu'étant un européen convaincu - a voté et fait voter le projet de Constitution, je suis assez satisfait du Non irlandais même si leurs raisons ne sont pas les miennes.
En effet, il n'est pas admissible démocratiquement qu'un Parlement vote un projet qui a été repoussé par référendum, c'est en quelque sorte trahir le vote des électeurs (malgré que j'ai voté oui mais je respecte la décision des électeurs, je ne suis pas Tsarko).
Tout à fait d'accord avec toi
Par contre moi j'avais voté NON car je veux d'une Europe mais pas celle proposée
d'ailleurs on commence à en ressentir les effets ---> voir achat Vaseline
coal- Messages : 2424
Date d'inscription : 23/02/2008
Localisation : l'Elysée, 55 rue du faubourg Saint-Honoré 75008 Paris
Re: Le non irlandais frappe de plein fouet la présidence européenne de Sarkozy
coal a écrit:papacoz a écrit:respectont la decision irlandaise
comme le non français a ete respecté en son temps
Ah oui vachement respecté , que fais tu du NON au référendum
c'est bien pour cela que ton NAIN l'a fait passé par le parlement pour que ça majorité le vote
Vive la France , Vive la démocratie et FUCK The Blaireaux
le non français a ete respecté en son temps, PAPA a bien fait de préciser "en son temps", car le Jacquot la fripouille n'a pas osé passer outre, le Nain l'a fait, normal, 53% de veaux ont voté bêtement pour lui en 2007 dans la mesure ou il a proposé, tel un "Père Noel" bienfaiteur un peu de tout pour flâter la populasse (PAPA n'est pas compris dedans ), cette "racaille égoiste" n'y a vu que du feu quand, en même temps, il affichait ses idées réactionnaires et répréssives (entre autre chose).
FUCK les 53% de veaux et VIVE L'IRLANDE, le porte parole des FRANCAIS qui ont voté NON en 2005.
Arsene du PDC- Messages : 2026
Date d'inscription : 24/02/2008
Age : 114
Re: Le non irlandais frappe de plein fouet la présidence européenne de Sarkozy
Arsene du PDC a écrit:coal a écrit:papacoz a écrit:respectont la decision irlandaise
comme le non français a ete respecté en son temps
Ah oui vachement respecté , que fais tu du NON au référendum
c'est bien pour cela que ton NAIN l'a fait passé par le parlement pour que ça majorité le vote
Vive la France , Vive la démocratie et FUCK The Blaireaux
le non français a ete respecté en son temps, PAPA a bien fait de préciser "en son temps", car le Jacquot la fripouille n'a pas osé passer outre, le Nain l'a fait, normal, 53% de veaux ont voté bêtement pour lui en 2007 dans la mesure ou il a proposé, tel un "Père Noel" bienfaiteur un peu de tout pour flâter la populasse (PAPA n'est pas compris dedans ), cette "racaille égoiste" n'y a vu que du feu quand, en même temps, il affichait ses idées réactionnaires et répréssives (entre autre chose).
FUCK les 53% de veaux et VIVE L'IRLANDE, le porte parole des FRANCAIS qui ont voté NON en 2005.
enfin quelqu'un qui comprend ce que j'ecrit
tout a fait d'accord avec toi arsene
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